La difficile prise en charge du Covid long
Une revue parue en août 2024 de la littérature sur la question des séquelles à long terme de l’infection par le SARS-CoV-2 fait le point sur la prise en charge complexe du Covid long et de ses symptômes.
Une revue parue en août 2024 de la littérature sur la question des séquelles à long terme de l’infection par le SARS-CoV-2 fait le point sur la prise en charge complexe du Covid long et de ses symptômes.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé vendredi 13 septembre avoir mis en place un « mécanisme d’accès et d’allocation pour les contre-mesures médicales contre le mpox », notamment les vaccins, les traitements et les tests de diagnostic.
C’est malheureusement désormais habituel : chaque nouvelle alerte de santé mondiale s’accompagne d’un certain nombre de fausses informations, relayées avec ou sans malice sur les réseaux sociaux. La plupart du temps facilement démontables, ces rumeurs conspirationnistes ne mériteraient pas qu’on s’y attarde, si elles n’avaient pas un effet délétère sur la santé publique. Gilles Pialoux, notre rédacteur en chef, a donc pris le temps de répondre à celles circulant à l’occasion de la nouvelle épidémie de mpox.
Les autorités sanitaires américaines ont confirmé, le vendredi 6 septembre 2024, qu’une personne avait été testée positive à la grippe aviaire sans contact connu avec un animal, une première aux États-Unis.
L’Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales (ANRS-MIE), le Conseil national du sida et des hépatites virales (CNS), et la Haute Autorité de santé (HAS) ont publié à la fin juillet 2024 de nouvelles recommandations concernant le traitement préventif pré-exposition (PrEP) et le traitement post-exposition (TPE) du VIH. Des recommandations très attendues.
La pandémie a entraîné des retards de diagnostic et de traitements des pathologies du foie. Elle a également provoqué une baisse du dépistage des Infections Sexuellement Transmissibles (IST).
Chute du dépistage, difficulté d’accès aux traitements, la pandémie de COVID-19 a de lourdes conséquences sur la prise en charge des patients infectés par le VHC.
Le virus de l’hépatite C (VHC) évolue en silence, bien souvent sans symptômes visibles. Alors pour l’éliminer, il est indispensable de le chercher là où il se cache. Certaines populations sont particulièrement exposées, comme les usagers de drogues, les détenus ou encore les patients hospitalisés en psychiatrie.
Plusieurs études plaident en faveur de proposer la prophylaxie pré-exposition (PrEP) aux personnes exposées face au VIH ayant recours au traitement post-exposition (TPE).
L’Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales (ANRS-MIE), le Conseil national du sida et des hépatites virales (CNS), et la Haute Autorité de santé (HAS) ont publié à la fin juillet 2024 de nouvelles recommandations concernant le traitement préventif pré-exposition (PrEP) et le traitement post-exposition (TPE) du VIH. Des recommandations très attendues.
Plusieurs revues bibliographiques se sont penchées à la fois sur l’exposition et sur les dynamiques de transmission du VIH chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) originaires d’Afrique subsaharienne, en fonction de leurs partenaires.
Le ministère chargé de la Santé et de la Prévention a annoncé la mise en œuvre d’un nouveau dispositif de dépistage des infections sexuellement transmissibles (IST) à partir du 1ᵉʳ septembre: «Mon test IST», le dépistage à la demande et sans ordonnance.
Une revue parue en août 2024 de la littérature sur la question des séquelles à long terme de l’infection par le SARS-CoV-2 fait le point sur la prise en charge complexe du Covid long et de ses symptômes.
C’est malheureusement désormais habituel : chaque nouvelle alerte de santé mondiale s’accompagne d’un certain nombre de fausses informations, relayées avec ou sans malice sur les réseaux sociaux. La plupart du temps facilement démontables, ces rumeurs conspirationnistes ne mériteraient pas qu’on s’y attarde, si elles n’avaient pas un effet délétère sur la santé publique. Gilles Pialoux, notre rédacteur en chef, a donc pris le temps de répondre à celles circulant à l’occasion de la nouvelle épidémie de mpox.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé vendredi 13 septembre avoir mis en place un « mécanisme d’accès et d’allocation pour les contre-mesures médicales contre le mpox », notamment les vaccins, les traitements et les tests de diagnostic.
Les autorités sanitaires américaines ont confirmé, le vendredi 6 septembre 2024, qu’une personne avait été testée positive à la grippe aviaire sans contact connu avec un animal, une première aux États-Unis.
La Mairie de Paris promeut le développement d’une culture commune sur le chemsex et soutient la mise en réseau des professionnels et des acteurs impliqués. Lentement mais sûrement.
Aaron Chady a d’abord été enseignant, puis éducateur dans un centre de santé sexuelle. Il s’est formé au dépistage du VIH et à l’aller-vers en santé sexuelle. Bénévole pour le centre de santé sexuelle de David Stuart, il travaille aujourd’hui comme conseiller santé au 56 Dean Street.
Le 56 Dean Street est un centre de santé sexuelle appartenant à la Chelsea and Westminster NHS Foundation Trust (la Fondation du Service National de Santé de Chelsea et de Westminster). Situé dans le quartier de Soho, au cœur de la communauté gay londonienne, il reçoit sans rendez-vous des clients de tous âges et de tous sexes, et apporte une réponse cousue-main aux besoins des chemsexeurs. David Stuart y a développé les bases d’un accueil qui a fait école dans de nombreux Checkpoints d’Europe.
Séropositif depuis 1982, ancien usager de drogues et chemsexeur, Ben Collins se définit comme un organisateur communautaire, « gauchiste » à l’américaine, héritier des luttes anti-guerre du Vietnam, antiracistes, féministes, et pour la liberté sexuelle des gays. Installé à Londres depuis les années Clinton, il a organisé trois forums chemsex internationaux, à Berlin, Paris et Londres où nous l’avons rencontré. Pour lui, c’est clair : face au chemsex, de nouvelles valeurs communautaires doivent émerger. Un point de vue qu’il a défendu lors du Forum chemsex de juillet 2024 à Munich.