Impact du COVID sur les maladies hépatiques et IST
La pandémie a entraîné des retards de diagnostic et de traitements des pathologies du foie. Elle a également provoqué une baisse du dépistage des Infections Sexuellement Transmissibles (IST).
La pandémie a entraîné des retards de diagnostic et de traitements des pathologies du foie. Elle a également provoqué une baisse du dépistage des Infections Sexuellement Transmissibles (IST).
Chute du dépistage, difficulté d’accès aux traitements, la pandémie de COVID-19 a de lourdes conséquences sur la prise en charge des patients infectés par le VHC.
Le virus de l’hépatite C (VHC) évolue en silence, bien souvent sans symptômes visibles. Alors pour l’éliminer, il est indispensable de le chercher là où il se cache. Certaines populations sont particulièrement exposées, comme les usagers de drogues, les détenus ou encore les patients hospitalisés en psychiatrie.
L’organisation mondiale de la santé a défini en 2014 un cadre mondial d’élimination des hépatites virales B et C. L’application de ce cadre peut permettre de parvenir à l’élimination du virus de l’hépatite C d’ici 2025. Point d’étape de la situation française.
A partir du 20 mai 2019, la prescription de deux médicaments de dernière génération pour le traitement de l’hépatite C chronique est ouverte à l’ensemble des médecins, et notamment aux médecins généralistes, comme prévu par le Plan priorité prévention.