JO 2024: un facteur de risque pour les épidémies

Le Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires (Covars) craint une «augmentation des cas» des maladies comme la dengue et autres arboviroses en France métropolitaine, à l’occasion des Jeux olympiques et d’autres grands évènements sportifs. Les grands rassemblements, brassant des populations venant du monde entier, «renforcent les risques de survenue de foyers de dengue, Zika et chikungunya», indique le Covars.

Le Zika, modèle d’approche «One Health» et risque émergent en France hexagonale

Le virus Zika, transmis principalement par les moustiques tigres, est peu connu en France hexagonale, malgré les épidémies récentes et des cas de microcéphalie chez les bébés nés de mères infectées. Pourtant, le changement climatique modifie son environnement et risque de contribuer à une plus grande diffusion de la maladie.

Caractéristiques de l’Infection par le monkeypox chez les patients VIH+ avec moins de 350 CD4/mm3

À partir d’une étude internationale rétrospective entre 19 pays (10 pays européens, 8 américains et 1 africain) sur la période entre mai 2022 et janvier 2023, l’objectif était de décrire les caractéristiques de l’infection à monkeypox et le taux de mortalité chez les patients VIH+ immunodéprimés avec un taux de CD4 inférieur à 350/mm3.

Retour vers le futur? Après le VIH, encore du VIH. Mais après le SARS-Cov-2 et le mpox : what else ?

Après trois années de disette présentielle en tant que réunion entièrement virtuelle —constat partagé dans l’avion—, on n’en peut plus de la 2D et de la copie d’écran! On veut du vivace, de l’échange, du physique même distancié, même masqué (FFP2 exigé au congrés + pass vaccinal), on veut le conférencier non-US citizen qui ne comprend pas la question, on attend l’activiste de toutes les CROI avec sa question vécue et pointue, et Christine Katlama qui remet la France au centre dans une question sans fin.

Les traitements contre le covid-19 en 2022

La prise en charge médicale des malades du covid-19 a également évolué, comme l’a rappelé Maya Hites, infectiologue à l’hôpital universitaire Erasme de Bruxelles, qui faisait le point sur l’efficacité des traitements anti-covid-19 lors d’un point presse de l’ANRS MIE le 6 octobre dernier : «Nous disposons aujourd’hui d’un arsenal thérapeutique beaucoup plus grand que le début de la pandémie.»