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On a presque tous les outils pour en finir avec le VIH mais tout le monde n’est pas sur la même ligne de départ

C’est incroyable la foison de recherches sur les outils de PrEP, de PEP, de prévention des IST qui émergent dans cette CROI 2023. D’ailleurs ce n’est plus une CROI, mais une conférence sur les infections (ré)émergentes et la prévention en santé sexuelle.

DOXYPEP : Plus de données sur l’effet préventif de la doxycycline en post-exposition

Les résultats de l’étude DOXYPEP ont confirmé, à l’occasion de la conférence de Montréal en août 2022, l’intérêt de la prise de doxycycline après un rapport sexuel (PEP pour post-exposition) pour faire baisser le risque d’infections sexuellement transmissibles (IST) bactériennes, dans une population d’hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes et de femmes transgenres. A la CROI 2023, d’autres données sont venues compléter ces résultats.

Retour vers le futur? Après le VIH, encore du VIH. Mais après le SARS-Cov-2 et le mpox : what else ?

Après trois années de disette présentielle en tant que réunion entièrement virtuelle —constat partagé dans l’avion—, on n’en peut plus de la 2D et de la copie d’écran! On veut du vivace, de l’échange, du physique même distancié, même masqué (FFP2 exigé au congrés + pass vaccinal), on veut le conférencier non-US citizen qui ne comprend pas la question, on attend l’activiste de toutes les CROI avec sa question vécue et pointue, et Christine Katlama qui remet la France au centre dans une question sans fin.

Nos premières fois

«Nous avons tous commencé à militer à partir d’émotions, de deuils, de colères, de rages, de dégoûts, face aux stigmates, à la violence de l’institution médicale quand elle ne nous ignorait pas complétement.» Daniel Defert, Congrès de Aides, Nantes, 2017.

Nicole Maestracci : au risque du savoir

Pour les militants de la politique de réduction des risques (RdR) Nicole Maestracci, membre du Conseil constitutionnel décédée le 7 avril dernier, restera à jamais l’autrice du «Savoir plus, risquer moins», une campagne qui vulgarise un slogan révolutionnaire: «il n’y a pas de société sans drogues». Pourtant, cette magistrate attachée au rôle symbolique de la loi, fut aussi à l’origine de l’émergence d’un pouvoir médical hégémonique popularisé sous le nom d’addictologie. Au-delà de la profonde humanité qui caractérise son souvenir, sa disparition nous amène à réfléchir sur la remarquable imperméabilité française à toute modification du cadre répressif en matière de drogues.