La difficile prise en charge du Covid long
Une revue parue en août 2024 de la littérature sur la question des séquelles à long terme de l’infection par le SARS-CoV-2 fait le point sur la prise en charge complexe du Covid long et de ses symptômes.
Une revue parue en août 2024 de la littérature sur la question des séquelles à long terme de l’infection par le SARS-CoV-2 fait le point sur la prise en charge complexe du Covid long et de ses symptômes.
C’est malheureusement désormais habituel : chaque nouvelle alerte de santé mondiale s’accompagne d’un certain nombre de fausses informations, relayées avec ou sans malice sur les réseaux sociaux. La plupart du temps facilement démontables, ces rumeurs conspirationnistes ne mériteraient pas qu’on s’y attarde, si elles n’avaient pas un effet délétère sur la santé publique. Gilles Pialoux, notre rédacteur en chef, a donc pris le temps de répondre à celles circulant à l’occasion de la nouvelle épidémie de mpox.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé vendredi 13 septembre avoir mis en place un « mécanisme d’accès et d’allocation pour les contre-mesures médicales contre le mpox », notamment les vaccins, les traitements et les tests de diagnostic.
Psychologue clinicien, Arturo Mazzeo présente les formations qu’il a mis en place pour sensibiliser les professionnels de santé au « sujet » chemsex, qui n’est pas toujours un « problème ».
Plusieurs revues bibliographiques se sont penchées à la fois sur l’exposition et sur les dynamiques de transmission du VIH chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) originaires d’Afrique subsaharienne, en fonction de leurs partenaires.