La résistance du VIH aux nouvelles classes d’antirétroviraux
Sur le thème de la résistance du VIH, les nouvelles classes d’antirétroviraux ont été à l’honneur à la CROI Montréal de février 2002.
Sur le thème de la résistance du VIH, les nouvelles classes d’antirétroviraux ont été à l’honneur à la CROI Montréal de février 2002.
Peu après décembre 2019 et les premiers cas de Covid détectés en Chine, les polémiques ont fait rage sur l’origine du virus responsable, le SARS-CoV-2. Florence Débarre – directrice de recherche au CNRS, chercheuse en biologie évolutive, Sorbonne Université – présente les positions des uns et des autres, les hypothèses et les contre-attaques… Mais aura-t-on un jour une réponse définitive sur l’origine de la pandémie? Suspense…
Si les projecteurs étaient assez peu braqués sur les hépatites virales et l’infection par le VIH, la CROI 2009 de Montréal a présenté quelques études qui méritent d’être relatées. Par exemple, les données confirmant que l’hépatite C est désormais considérée comme une réelle IST chez les gays.
Les communications en «late breaker» de la conférence de Mexico sur l’association récemment retrouvée de manière inattendue entre abacavir et risque cardiovasculaire permettent de faire le point sur cette question.
Cet article a été publié dans Transcriptases n°138.
La mortalité des patients infectés par le VIH a spectaculairement chuté depuis la mise à disposition de combinaisons antirétrovirales efficaces et actuellement d’autres problématiques ont émergé dans la population plus âgée des personnes infectées par le VIH, et en particulier les maladies cardiovasculaires qui constituent la quatrième cause de décès (8%) des personnes infectées.
L’essai SPRINT-1 livre des résultats prometteurs concernant l’efficacité et la tolérance de la trithérapie interféron pégylé, ribavirine et boceprevir en première ligne de traitement de l’hépatite C.