Le congrès de l’EASL à Amsterdam met le VHC sur orbite

Ce n’est pourtant «qu’une» conférence européenne, L’EASL, 48éme meeting de l’European Association For the Study of the Liver, sise dans la capitale du coffee shop , des bicyclette fleuries et  «des marins qui chantent les rêves qui les hantent», Amsterdam. Pourtant au-delà des 9612 participants (record historique), des 1468 abstracts dont 130 communications orales et 21 late breakers, il règne, au RAI Convention Centre, lieu engoncé entre autoroute et réseau ferré, aussi accueillant qu’un supermarket de la Friseland, une effervescence sans précédent dans l’histoire de l’hépatite C. Bref le congrès «où il fallait être».

Un nouveau cadre de recommandations pour la co-infection VIH/VHC

C’est une première dans l’histoire de la co-infection VIH/VHC : Quatre sociétés savantes, la Société Française Nationale de Médecine Interne (SNSMI), la Société Française de Lutte contre le Sida (SFLS), l’Association Française pour l’Etude du Foie (AFEF), et la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF), ont, via un comité d’organisation et un comité de relecture, rédigé un cadre de recommandations très précis sur «l’utilisation des inhibiteurs de protéases de première génération du VHC chez les patients co-infectés de génotype 1» (PDF, 606Ko).