Prep : Le cabotegravir en injection plus efficace que les comprimés pour les femmes
Les résultats de l’étude HPTN 084 confirment la très grande efficacité de la Prep en version injectable, chez les femmes africaines cette fois.
Les résultats de l’étude HPTN 084 confirment la très grande efficacité de la Prep en version injectable, chez les femmes africaines cette fois.
La crise du Covid-19 a frappé l’hôpital public tel un tsunami. Patients vivant avec une maladie chronique et «prépeurs» pris en charge dans les services d’infectiologie, toutes et tous se sont retrouvés dans le même bateau. Une situation inédite qui a eu des conséquences non négligeables sur la santé mentale de tous les acteurs et actrices, chahutés entre risque de contamination et confinement.
On l’a vu, le confinement a fortement perturbé le dépistage et la prévention du VIH. L’édition spéciale Covid 19 de l’enquête Rapport au sexe (ERAS) nous donne des précisions sur les changements comportementaux des hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes (HSH), l’une des populations les plus exposées face au VIH.
La crise sanitaire et politique provoquée par le coronavirus risque d’avoir des conséquences sérieuses sur l’épidémie de VIH/sida : le nombre de tests de dépistage du VIH et le nombre de personnes initiant une prophylaxie pré-exposition (PrEP) ont fortement baissé, pendant le confinement et après.
Deux études réalisées en Afrique et présentées à AIDS 2020 démontrent une fois de plus l’efficacité de la prophylaxie pré-exposition (PrEP) pour réduire l’incidence du VIH chez les femmes.