Résultat de recherche pour « post grado o posgrado »

472 résultats pour « post grado o posgrado »

Le dépistage du VIH, des hépatites et des IST dans une consultation prénatale paternelle: l’étude interventionnelle PARTAGE

La proposition systématique d’un dépistage VIH, VHB, VHC et des IST bactériennes est désormais recommandée en consultation prénatale pour les futurs pères et plus généralement les co-parents. Une proposition due en grande partie au projet PARTAGE, dont les principaux résultats ont été publiés dans BMC Public Health et partagés à l’occasion de SFLS 2024 de Biarritz.

Héroïne : l’Europe en sevrage forcé ?

Que vont consommer les usagers d’héroïne de Verdun et d’ailleurs dans les mois qui viennent si leur produit de prédilection vient à manquer? Ne risque-t-on pas d’assister à une augmentation en lieu et place des consommations d’opioïdes beaucoup plus nocifs tel le fentanyl? Ces questions, qui concernent directement les quelques 150000 usagers d’héroïne dans l’année en France, se posent et leurs implications pourraient être tragiques.

PRIMO: la PrEP protège les hommes les plus exposés

La cohorte française PRIMO inclut des personnes lors d’une primo-infection aiguë par le VIH, symptomatique ou non. Elle apporte un regard inédit sur les effets, entre 2014 et 2021, des évolutions majeures que sont l’annonce de l’efficacité préventive du traitement antirétroviral, dont l’initiation est recommandée dès le diagnostic depuis 2014 et la disponibilité de la PrEP depuis 2016.

Mpox : mise au point

L’année 2022 a vu émerger une épidémie de mpox, autrefois appelée variole du singe, aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud, conduisant les autorités sanitaires et les services hospitaliers de maladies infectieuses à déclencher l’alerte. Nathan Peiffer-Smadja et Antoine Potart, tous les deux du service des maladies infectieuses et tropicales (SMIT) de l’Hôpital Bichat Claude-Bernard (AP-HP), reviennent sur cette maladie infectieuse, les épidémies passées, son émergence dans les pays du Nord en 2022 et, bien sûr, la situation épidémique en 2024.

Don du sang : faute de discriminer de façon fiable les cas guéris, la syphilis entraîne toujours l’exclusion

Une étude récente publiée dans le journal Eurosurveillance montre une hausse des cas de syphilis chez les donneurs de sang en France en 2022, après plus d’une décennie de stabilité relative. L’utilisation du test non tréponémique (NTT) pour distinguer parmi les dons sérologiquement positifs pour la syphilis les infections de moins d’un an des plus anciennes ne s’est pas avérée suffisamment fiable pour permettre de ne pas exclure les donneurs ayant eu une syphilis ancienne.