Impact du COVID sur la prise en charge et l’élimination de l’Hépatite C
Chute du dépistage, difficulté d’accès aux traitements, la pandémie de COVID-19 a de lourdes conséquences sur la prise en charge des patients infectés par le VHC.
Chute du dépistage, difficulté d’accès aux traitements, la pandémie de COVID-19 a de lourdes conséquences sur la prise en charge des patients infectés par le VHC.
Le virus de l’hépatite C (VHC) évolue en silence, bien souvent sans symptômes visibles. Alors pour l’éliminer, il est indispensable de le chercher là où il se cache. Certaines populations sont particulièrement exposées, comme les usagers de drogues, les détenus ou encore les patients hospitalisés en psychiatrie.
La prophylaxie pré-exposition (PrEP) est un moyen de se protéger contre le virus du sida. Mais elle peut également favoriser des comportements à risque et ainsi augmenter la transmission du virus de l’hépatite C (VHC).
Les résultats de l’étude DOXYPEP confirment l’intérêt de la prise de doxycycline après un rapport sexuel (PEP pour post-exposition) pour faire baisser le risque d’infections sexuellement transmissibles (IST) bactériennes.
La pratique du chemsex, qui associe consommation de drogues et relations sexuelles, inquiète en raison des nombreux risques auxquels elle expose, en particulier infectieux.