A Grenoble, un appel pour voir la fin du sida
A Grenoble, la Société française de lutte contre le sida (SFLS) en congrès appelle à une transformation sociétale pour voir la fin du sida
A Grenoble, la Société française de lutte contre le sida (SFLS) en congrès appelle à une transformation sociétale pour voir la fin du sida
Les données du groupement EPI-PHARE montrent l’impact majeur, dans les conditions de vie réelle, des interruptions de traitement, particulièrement chez les jeunes, sur l’efficacité de la prophylaxie pré-exposition (PrEP).
L’expérimentation locale de dépistage gratuit du VIH sans ordonnance dans les laboratoires de biologie médicale sera étendue à la France entière, dans le cadre du Projet de loi de financement de la sécurité sociale 2022.
Le 20e congrès de la Société Française de lutte contre le sida (SFLS) s’est ouvert ce jeudi 24 octobre à La Rochelle, avec pour mot d’ordre: «Innover au-delà des 3 x 90». Alors qu’une baisse significative —mais modeste au regard d’autres pays ou villes— du nombre des nouvelles contaminations est observée en France, comment aller plus loin, vers l’éradication du VIH ou au moins le contrôle de l’épidémie? Les objectifs de l’Onusida pour mettre fin à l’épidémie sont-ils suffisants dans le contexte français? Le 90-90-90 est-il un but en soi ?
A l’occasion du congrès 2016 de la SFLS, de nouveaux chiffres concernant la Prep, et particulièrement les IST chez les personnes suivies, ont été rendus publics, alors que l’accès à la prévention diversifiée commence à se déployer chez les gays et HSH et peine à se déployer dans les autres populations exposées.