CROI 2021 : «Tout cela pour des vieux blancs malades»*
Malgré la pandémie mondiale, Gilles Pialoux couvre la CROI 2021, en version virtuelle, pour le e-journal d’Edimark et pour Vih.org.
Une maladie à coronavirus, parfois désignée covid (d’après l’acronyme anglais de coronavirus disease) est une maladie causée par un coronavirus (CoV). L’expression peut faire référence aux maladies suivantes : le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) causé par le virus SARS-CoV, le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) causé par le virus MERS-CoV, la maladie à coronavirus 2019 (Covid-19) causée par le virus SARS-CoV-2.
L’irruption du SARS-CoV-2 et du Covid-19 a plongé le monde dans une crise sanitaire sans précédent. Les spécialistes du VIH se sont retrouvés au premier rang dans la lutte contre cette nouvelle épidémie, grâce à leur expérience dans le champ des maladies infectieuses.
Malgré la pandémie mondiale, Gilles Pialoux couvre la CROI 2021, en version virtuelle, pour le e-journal d’Edimark et pour Vih.org.
Alice Desclaux, médecin anthropologue, analyse, pour Vih.org, la perception de l’hydroxychloroquine et celle du vaccin contre le Covid-19 dans quatre pays d’Afrique Francophone. Enthousiasme pour la première, méfiance envers le second, comment expliquer ces représentations dans le contexte actuel de mondialisation de l’information?
Alors que la campagne de vaccination en France peine à trouver son rythme de croisière et que la colère gronde, les personnes vivant avec le VIH, et particulièrement les immunodéprimées, ne sont pas considérées «à très haut risque face au Covid-19». Aucune donnée solide ne permet pourtant de l’affirmer, au contraire.
Face au SARS-Cov2 et au besoin de comprendre cette épidémie nouvelle, les analogies avec d’autres pandémies, dont le VIH, ont prospéré dans un espace public et médiatique inquiet. Et ce, malgré les écueils majeurs de telles comparaisons.
Une chute de 50 à 80% des nouvelles initiations de prophylaxie pré-exposition contre le VIH a été observée pendant le confinement. Plus de 21000 personnes étaient sous PrEP au premier semestre 2020.