PrEP injectable dans les pays à ressources limitées, promesses et défis

Un étude de modélisation publiée fin 2022 tente de répondre, pour le cas sud-africain, à deux questions: quels seraient les impacts de santé publique d’un programme de PrEP injectable par rapport à un programme de PrEP orale ? à quel coût de la PrEP injectable celle-ci serait-elle plus coût-efficace que la PrEP orale?

On a presque tous les outils pour en finir avec le VIH mais tout le monde n’est pas sur la même ligne de départ

C’est incroyable la foison de recherches sur les outils de PrEP, de PEP, de prévention des IST qui émergent dans cette CROI 2023. D’ailleurs ce n’est plus une CROI, mais une conférence sur les infections (ré)émergentes et la prévention en santé sexuelle.

PrEP en injectable : explorer les échecs

En France, le cabotégravir est autorisé en traitement injectable contre le VIH, mais pas pour une utilisation préventive (PreP). Pour le Dr Romain Palich (Hôpital de la Pitié-Salpêtrière), qui faisait un point sur les intérêts, et les limites, de la prophylaxie pré-exposition injectable à l’occasion des journées thématiques 2022 de la SFLS/SPILF/SPF, elle devrait débarquer en France dans le courant de l’année.

Étude MOCHA : Le cabotégravir et la rilpivirine en « long acting » bientôt chez l’adolescent ?

IMPAACT 2017 (MOCHA) est une étude de phase I/II non comparative et ouverte visant à confirmer la dose et à évaluer la sécurité, la tolérance, l’acceptabilité et la pharmacocinétique (PK) de cabotégravir (CAB), cabotégravir en long acting (CAB-LA) et rilpivirine en long acting (RPV-LA) par voie orale chez des adolescents, ≥12 à <18 ans, vivant avec le VIH-1.