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Un réseau collaboratif et évolutif pour soutenir les chemsexeurs

À Lisbonne, le chemsex a été repéré au milieu des années 2010, quand les problèmes liés sont devenus manifestes. Dans un contexte légal de dépénalisation des drogues, avec une forte tradition de réduction des risques, les solutions sont apparues rapidement, qui ont associé un dispositif public, DiverGENTE et la réponse communautaire des associations historiques, Kosmicare pour la réduction des risques et GAT, pour la santé sexuelle. Un réseau évolutif et collaboratif, nous explique Filipe Couto Gomes, psychiatre à Lisbonne (pour les deux associations Kosmicare et GAT).

Une autre perspective sur le chemsex est-elle possible ?

Élargir la focale sur le phénomène du chemsex, tel est l’objectif de cet article confié à Soel Real Molina et Gabriel Girard, chercheurs sur les questions de santé LGBTI+. Ce regard des sciences sociales permet d’envisager la diversité des défis associés au chemsex, pour élargir l’éventail des réponses possibles, individuelles, communautaires comme institutionnelles.

Chemsex : de la nécessité d’adapter les réponses

Anglicisme issu de la fusion des mots chemicals (produits chimiques) et sex, le chemsex désigne la consommation de substances psychoactives en contexte de sexualité. Le terme s’est vulgarisé dans la communauté gay à partir de la fin des années 2000 au Royaume-Uni notamment et aux États-Unis, et prend son essor en France vers 2010. Est accolée à l’émergence du chemsex une pratique, minoritaire mais sanitairement impliquante, le slam ou l’injection de produits dans ce même contexte sexuel. Tour d’horizon non exhaustif des données historiques et scientifiques existantes et des questions de recherche en suspens.

VIH: Pas de réduction du risque de décès chez les personnes dépistées tardivement

Le dépistage tardif a encore un impact négatif sur la survie des personnes vivant avec le VIH, confirme une étude française présentée à la CROI, et ce, en dépit des avancées thérapeutiques. Le dépistage tardif reste élevé en France: entre 2002 et 2016, près de 29% des personnes se présentent à l’hôpital avec une infection avancée.