Dans «la fin du sida en 2030», il y a aussi l’objectif «zéro décès dû au VIH»
Un article du Lancet propose une classification pour évaluer la part des «morts évitables» liées au VIH chez les personnes séropositives.
Un article du Lancet propose une classification pour évaluer la part des «morts évitables» liées au VIH chez les personnes séropositives.
La perturbation des services sanitaires à cause de la crise du COVID-19, autant dans l’accès au traitement qu’en prévention, pourrait entraîner des centaines de milliers de décès supplémentaires dus au VIH, si des efforts spécifiques, en particulier financiers, ne sont pas mis en place.
La session plénière du jeudi 26 juillet souligne une fois de plus que l’épidémie est loin d’être contenue. Des territoires, des populations entières sont surexposées au VIH, entretenant des micro-épidémies, et le besoin d’engagement est plus fort que jamais.
Selon les derniers chiffres de l’Onusida, 1,5 million de personnes sont mortes l’année passée à cause du VIH, soit près de 12% de moins qu’en 2012. Une très bonne nouvelle, qu’il faut accueillir pour la réussite qu’elle représente, mais qui ne doit pas faire oublier l’ampleur de ce qui reste à accomplir.