Dans «la fin du sida en 2030», il y a aussi l’objectif «zéro décès dû au VIH»
Un article du Lancet propose une classification pour évaluer la part des «morts évitables» liées au VIH chez les personnes séropositives.
Un article du Lancet propose une classification pour évaluer la part des «morts évitables» liées au VIH chez les personnes séropositives.
Les communautés thérapeutiques ont vu leur développement limité en France, en grande partie en raison de dérives constatées qui figuraient en vérité dans les «institutions de référence» américaines. En pleine vague d’héroïnomanie de masse dans les années 1970-1990, elles ont incarné un espoir de réinsertion. Objet possible d’une diversification de l’offre de soins, les communautés thérapeutiques n’ont pas connu ici le même succès qu’ailleurs. Cet article, le premier d’une série, revient sur cette histoire compliquée. Dans un prochain numéro de Swaps, nous aborderons leur renouveau contemporain.
En novembre 2012, à la suite de deux referendums, les populations des États du Colorado et de Washington approuvaient la production et la commercialisation du cannabis non médical. Ces scrutins historiques, synonymes de légalisation, allaient lancer une onde de choc à l’échelle des États-Unis et du monde, ébranlant le paradigme prohibitionniste alors en vigueur.
La flambée épidémique de variole du singe ou monkeypox, qu’on appelle désormais mpox, a été contrôlée dans les pays non endémiques où elle avait surgi cet été. Mais le virus n’a pas disparu complètement et pose des questions de stratégie préventive, mais aussi thérapeutique.
Avant la crise sanitaire liée au covid-19, la notion de One Health, pourtant vieille comme le monde et structurée dès le début des années 2000, n’était connue que d’un petit cercle d’initiés. Les récentes épidémies l’ont remise au-devant de la scène.