Les communautés thérapeutiques : le début de l’histoire

Les communautés thérapeutiques ont vu leur développement limité en France, en grande partie en raison de dérives constatées qui figuraient en vérité dans les «institutions de référence» américaines. En pleine vague d’héroïnomanie de masse dans les années 1970-1990, elles ont incarné un espoir de réinsertion. Objet possible d’une diversification de l’offre de soins, les communautés thérapeutiques n’ont pas connu ici le même succès qu’ailleurs. Cet article, le premier d’une série, revient sur cette histoire compliquée. Dans un prochain numéro de Swaps, nous aborderons leur renouveau contemporain.

Rapport Morlat 2016: Des nouveautés dans la prise en charge des personnes vivant avec le VIH

A l’occasion du congrès de la SFLS, Philippe Morlat et Bruno Hoen, respectivement Président et membre du groupe d’experts, ont présenté le 8 octobre les actualisations 2016 des recommandations pour la prise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH. Elles sont, ce 31 janvier 2017, disponibles sur le site du Conseil national du sida (CNS). 

Ces premières actualisations concernent d‘abord les chapitres « Traitement antirétroviral », « Primo-infection à VIH-1 », « Infection VIH-2 / Diversité des VIH-1 », « Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux », et «Prise en charge des accidents d’exposition, au sang et sexuelle, chez l’adulte ».

La cascade de soins VIH en Afrique subsaharienne: Vers une meilleure liaison entre dépistage et entrée dans les soins.

Le diagnostic du VIH n’est que la première étape du parcours de soin des personnes infectées. Idéalement, un diagnostic doit être suivi rapidement d’une évaluation de l’éligibilité au traitement (principalement une mesure des CD4), puis d’une initiation du traitement ARV ou d’une ré-évaluation régulière de l’éligibilité. Dans les faits, la continuité à cette étape cruciale de la cascade est loin d’être optimale.

Rapport «Accélérer» de l’Onusida: Mettre fin à l’épidémie d’ici 2030

Selon le nouveau rapport de l’Onusida intitulé «Accélérer: mettre fin à l’épidémie de sida d’ici à 2030», en adoptant une approche accélérée dans le financement de la riposte à l’épidémie de sida, près de 28 millions de nouvelles infections à VIH et 21 millions de décès pourraient être évités.