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VIH : de nouveaux indicateurs pour améliorer l’accès aux traitements du VIH

Malgré les recommandations de l’Organisation mondiale pour la santé (OMS) qui préconisent une mise sous traitement antirétroviral précoce des personnes infectées par le virus du VIH, on constate que cette initiation est toujours trop tardive, notamment dans les pays à revenu moyen et faible. Un écart existe donc entre recommandations et ce qui se passe sur le terrain. Dans une étude publiée en ligne dans le Bulletin de l’OMS, l’équipe du Dr Dominique Costagliola (directrice de l’Institut Pierre Louis d’Épidémiologie et de Santé publique – UMR S 1136 – Inserm / UPMC), en collaboration avec les sites ANRS (France REcherche Nord&sud Sida-hiv Hépatites) du Cameroun et de la Côte d’Ivoire, propose deux nouveaux indicateurs permettant d’évaluer les interventions mises en place sur le terrain pour accélérer l’accès aux traitements.

Prep «à la demande»: Premiers résultats très encourageants

Des résultats préliminaires de l’étude ANRS Ipergay de prévention pré-exposition chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes mettent en évidence une très bonne observance au traitement. Le concept de traitement préventif «à la demande», pris à l’occasion des rapports sexuels se révèle ainsi bien accepté. Ces données sont présentées en communication orale à la 20e conférence internationale sur le sida organisée par l’International Aids Society à Melbourne (Australie) du 20 au 25 juillet 2014.

CROI 2014: Résultats complémentaires de deux traitements contre l’hépatite C en co-infection VIH/VHC

Les premiers résultats de deux essais, ANRS-HC26 TelapreVIH et ANRS-HC 27 BocepreVIH, présentés à la conférence de la CROI 2013 donnaient de bons résultats sur des associations de médicaments comprenant des nouvelles molécules anti-hépatite, le bocéprévir et le télaprévir, chez des patients co-infectés par le VIH et le VHC et en échec d’un premier traitement.

CROI 2014: Traiter tôt les patients infectés par le VIH, un bénéfice confirmé

Les avancées majeures réalisées en termes de prévention et de traitement ont permis de freiner l’épidémie VIH et d’améliorer la qualité de vie des personnes atteintes. L’obstacle majeur à la rémission reste l’existence de réservoirs viraux dans lesquels le virus est à l’état latent et sur lesquels les traitements antirétroviraux ne sont pas efficaces. Plusieurs études apportent des éclairages nouveaux sur les réservoirs et insistent sur  la nécessité de traiter très tôt les personnes infectées afin de préserver le système immunitaire dès les premières attaques du virus.

IAS 2013 : Traitement antirétroviral précoce, comportements sexuels et transmission du VIH

Les résultats de l’étude ANRS « Temprano Social » réalisée chez près de 1000 personnes infectées par le VIH en Côte d’Ivoire, montrent qu’un traitement antirétroviral précoce comparé à un traitement standard ne conduit pas à plus de comportements sexuels à risque. L’étude estime par ailleurs qu’un an après son initiation, ce mode de traitement précoce réduirait le risque de transmission du VIH au dernier rapport de 90%.