«Choisir, c’est renoncer»: Bilan de la CROI 2019
C’est l’heure du check out, des transferts vers l’aéroport et du bilan: que rapporte-t-on de la CROI 2019 de Seattle à se mettre dans la blouse blanche?
C’est l’heure du check out, des transferts vers l’aéroport et du bilan: que rapporte-t-on de la CROI 2019 de Seattle à se mettre dans la blouse blanche?
La session plénière du jeudi 26 juillet souligne une fois de plus que l’épidémie est loin d’être contenue. Des territoires, des populations entières sont surexposées au VIH, entretenant des micro-épidémies, et le besoin d’engagement est plus fort que jamais.
La session plénière du mardi 24 juillet était consacrée, dans une approche micro-épidémiologique, à partager des chiffres concernant certaines minorités exposées au VIH, comme les usagers de drogues, les travailleuses du sexe et les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH), et s’est attelé à décrire l’impact dramatique de la criminalisation de la transmission au Etats-Unis.
In its first ever European issue, Swaps reports on the state of harm reduction across the Europe Union and offers multi-country European perspectives from experts in the field. Despite having been a pioneer in harm reduction and in promoting evidence-based policies, Europe and many of its member states remain ambiguous with regard to drug policy, the dogma of prohibition, criminalization of drug use, priority for health and the role of law enforcement.
Alors que les progrès récents des traitements ont permis de faire évoluer l’infection VIH vers la maladie chronique, la nécessité d’une observance rigoureuse de la part des personnes vivant avec le virus encourage le développement de formulations de molécules antorétrovirales à longue durée d’action (ARVs-LA). Pour l’instant, les premières études évaluent une injection une fois par mois ou une fois tous les deux mois, mais le but est d’arriver à diminuer encore cette fréquence, tout en concervant intacte l’efficacité de la thérapie.