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Aedes aegypti : comment ce moustique africain est-il devenu un ennemi public majeur

À l’instar de nombreux processus évolutifs, le moustique Aedes aegypti n’est pas devenu l’un des principaux vecteurs mondiaux de virus humains de façon soudaine. Une équipe internationale met en lumière l’évolution génétique ayant permis à cette espèce, initialement présente dans les forêts africaines, de devenir un super-vecteur.

Du sud au nord : comment le moustique tigre redessine la carte des épidémies

Le moustique tigre (Aedes albopictus), originaire d’Asie du Sud-Est, s’installe durablement en France et en Europe. Une étude parue dans Global Change Biology (Radici et al., 2025) montre que cette espèce invasive a rapidement colonisé sa « niche climatique » en France, sous l’effet conjugué du réchauffement global et de l’urbanisation. Et avec lui, c’est le risque d’arboviroses – dengue en tête – qui s’étend vers le nord du continent.

Comment les chercheurs ont reconstitué 37 000 ans d’épidémies : plongée dans la paléo-épidémiologie moléculaire

Grâce aux outils de la génétique ancienne, une équipe internationale a dressé une carte inédite des infections humaines à travers l’histoire de l’Eurasie. En analysant l’ADN de plus de 1300 individus, les chercheurs révèlent comment la sédentarisation, l’élevage et les migrations ont façonné l’émergence et la circulation des maladies infectieuses.

IAS 2025 à Kigali : PrEP, financements en péril et espoirs pour 2030

La 13e conférence de l’International AIDS Society (IAS), qui s’est tenue du 13 au 17 juillet 2025 à Kigali, a marqué un tournant dans la réflexion globale sur la lutte contre le VIH/sida. Dans un contexte politique et budgétaire incertain, les chercheurs et décideurs de nombreux pays ont plaidé pour un renforcement des engagements en vue de l’échéance 2030.

Covid-19 : persistance d’un surrisque cardiovasculaire pendant 18 mois

Une étude de grande envergure menée en Corée du Sud et au Japon confirme un surrisque cardiovasculaire prolongé après une infection par le Sars-CoV-2, quel que soit le variant, et même après des formes peu sévères. Toutefois, si le risque relatif est significativement élevé, le risque absolu demeure faible. Et la vaccination semble l’atténuer.