Le risque de transmission du VIH sous traitement antirétroviral

L’objectif de cette étude réalisée à partir d’une revue de la littérature selon les critères PRISMA, à partir des bases de données électroniques Medline, Cochrane, Embase et Web of Science était d’évaluer le risque de transmission hétérosexuelle du VIH par acte sexuel non protégé lorsque le partenaire infecté est sous TARV depuis plus de 6 mois et a un suivi médical régulier, incluant la mesure de la charge virale (CV).

Un pont de plus vers l’espérance

La CROI se termine toujours sur un bilan. Pour certains, ce ne sont simplement que quatre jours de perdus pour comprendre les règles sociales US (tips, regards, ascenseur, séduction, fine…), pour quelques uns ce n’est que regrets de tous les abstracts qu’on aurait pu soumettre, pour d’autres enfin c’est la conscience qu’il n’y a vraiment plus rien à acheter chez Banana Republic ou chez Abercrombie & Fitch, qui nous sauva du ridicule en rentrant.

Les transmissions dues aux infections récentes menacent-elles l’impact du TasP?

Les stratégies de prévention du VIH basées sur l’effet préventif du traitement antirétroviral (ARV) pour réduire le risque de transmission des personnes infectées par le VIH, le TasP, constituent un réel espoir dans la lutte contre l’épidémie en Afrique subsaharienne. Si des études de modélisation laissent penser que l‘impact d’une telle stratégie conduite dans un « monde idéal » pourrait être sans précédent, de nombreuses questions se posent quant à son efficacité en situation réelle. Parmi les facteurs qui pourraient réduire l’impact de stratégies basées sur le TasP figure la question de la contribution des contaminations récentes à l’épidémie globale.

Dépistages répétés du VIH à domicile en Afrique du Sud: Une stratégie bien acceptée à large échelle

Les premiers résultats de la première phase de l’essai ANRS 12249 TasP montrent qu’une proposition répétée de dépistage du VIH à domicile est bien acceptée par une population rurale d’Afrique du Sud. Le défi demeure d’amener les individus infectés vers les structures de soins pour une prise en charge de l’infection. Ces résultats sont présentés en communication orale à la 20e conférence internationale sur le sida organisée par l’International Aids Society à Melbourne (Australie) du 20 au 25 juillet 2014.