«Choisir, c’est renoncer»: Bilan de la CROI 2019
C’est l’heure du check out, des transferts vers l’aéroport et du bilan: que rapporte-t-on de la CROI 2019 de Seattle à se mettre dans la blouse blanche?
C’est l’heure du check out, des transferts vers l’aéroport et du bilan: que rapporte-t-on de la CROI 2019 de Seattle à se mettre dans la blouse blanche?
L’un des scoop, un vrai, de cette CROI 2019 n’est pas tant le concept-spectacle du patient « cure », mais bien le fait qu’une session orale entière (TD-08), et une autre de posters (# 669-679) soient consacrées à un phénomène qu’on a observé ça et là, dans nos consultations, mais dont personne, ni dans les agences de veille sanitaire, ni dans les laboratoires pharmaceutiques, n’a parlé jusqu’à présent: la prise de poids morbide sous ARV.
Le Pr Gilles Pialoux est à Seattle du 4 au 7 mars 2019 pour couvrir la 26e édition de la CROI, pour « Conference on Retroviruses and Opportunistic Infections », la Conférence sur les rétrovirus et les infections opportunistes, pour Vih.org et la Lettre de l’infectiologue.
La 26e édition de la CROI, pour « Conference on Retroviruses and Opportunistic Infections », la Conférence sur les rétrovirus et les infections opportunistes, se tient à Seattle du 4 au 7 mars 2019. Le Pr Gilles Pialoux est sur place pour Vih.org et la Lettre de l’infectiologue.
La route est longue de Paris à Seattle… Heureusement, Air France programmait Bohemian Rhapsody, idéal pour la mémoire collective pré-congrés, l’émotion, et pour les retardataires d’Allo Ciné. On peut prendre son temps sur le copieux programme de cette 26e CROI (la cinquième sise à Seattle en plein état de Washington) et le retourner dans tous les sens. Un seul constat : la poussée des IST, au-delà du phénomène épidémiologique expansif indiscutable, avec ou sans Prep, est saisissant.