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Philippines: un massacre de masse au nom de la «guerre à la drogue»

Plus de 9 000 morts. Ce seul chiffre donne la mesure du tragique – et provisoire – bilan de la «guerre à la drogue» que le président des Philippines, Rodrigo Duterte, mène depuis son entrée en fonction le 30 juin 2016, en mobilisant une rhétorique toxicophobe et au prétexte de rétablir «la paix et l’ordre» et de protéger l’État philippin d’organisations criminelles. Malgré les critiques qui s’élèvent, aux Philippines et à l’étranger, contre l’Oplan Double Barrel (Opération Double Canon), des atteintes aux droits humains continuent d’être commises à grande échelle.

VIH : Améliorer l’accès au dépistage

Pour l’Organisation mondiale de la Santé, les autotests de dépistage du VIH et la notification des partenaires sont essentiels pour améliorer l’accès au diagnostic du VIH. Elle publie ce mardi 29 novembre 2016 ses nouvelles directives sur ces deux priorités. Ces deux outils permettraient d’atteindre les personnes infectées par le VIH mais non encore diagnostiquées et contribueraient ainsi à réaliser le premier objectif fixé par les Nations Unies : 90% des personnes infectées par le VIH connaissent leur statut d’ici 2020. L’ANRS en a fait une priorité de recherche.

La naissance de la guerre à la drogue (années 1960-1980): une obsession américaine?

En 1961, la Convention internationale sur les stupéfiants de l’Organisation des Nations unies (ONU) définit la drogue comme un «fléau pour l’individu qui constitue aussi un danger économique et social pour l’humanité». Ce n’est pas pour autant qu’une guerre à la drogue est déclarée: le texte ne vise qu’à unifier et clarifier l’ensemble des mécanismes de régulation du commerce international des stupéfiants et à prohiber les usages non médicaux des substances listées.

La cascade de soins VIH en Afrique subsaharienne: Vers une meilleure liaison entre dépistage et entrée dans les soins.

Le diagnostic du VIH n’est que la première étape du parcours de soin des personnes infectées. Idéalement, un diagnostic doit être suivi rapidement d’une évaluation de l’éligibilité au traitement (principalement une mesure des CD4), puis d’une initiation du traitement ARV ou d’une ré-évaluation régulière de l’éligibilité. Dans les faits, la continuité à cette étape cruciale de la cascade est loin d’être optimale.