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Islatravir/lénacapavir en prise hebdomadaire : résultats à S96 de la phase II

Dans cette étude de phase II, l’administration hebdomadaire par voie orale d’islatravir (ISL), inhibiteur nucléosidique de translocation et de la transcriptase inverse, en association avec le lenacapavir (LEN), inhibiteur de la capside, permettait de maintenir un taux élevé de suppression virologique à S48 chez des adultes vivant avec le VIH-1 dont la charge virale était déjà contrôlée. Ces résultats avaient été montrés lors d’une précédente conférence. Les données présentées ici portent sur l’efficacité et la tolérance à S96 semaines.

Pas de modification du poids et de la composition corporelle après arrêt de TAF/FTC/BIC et passage à DOR/ISL

Chez les PVVIH en surpoids ou obèses, traitées par une combinaison associant un inhibiteur d’intégrase (INI) à du ténofovir alafénamide (TAF), un changement d’INI vers la doravirine (DOR), avec ou sans remplacement simultané du TAF par le ténofovir disoproxil fumarate (TDF), n’avait pas permis de réduire significativement le poids corporel après 48 semaines dans l’étude ACTG A5391. Le travail présenté ici porte sur les modifications du bilan métabolique et de composition corporelle dans cette même étude.

Utilisation du lénacapavir en France, depuis la fin de la phase d’accès précoce

Peu de données sont disponibles concernant l’utilisation du lénacapavir (LEN) en vie réelle depuis son autorisation de mise sur le marché en France. Une première étude, observationnelle, rétrospective, réalisée au sein du réseau de virologie et de pharmacologie de l’ANRS-MIE, visait à décrire les caractéristiques virologiques des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) ayant initié un traitement à base de LEN, à partir de décembre 2022, ainsi que l’évolution virologique au cours du suivi.

Fièvre hémorragique de Crimée-Congo : une menace qui s’installe en silence sous nos latitudes

Longtemps considérée comme une zoonose confinée à certaines régions d’Afrique, d’Asie et d’Europe de l’Est, la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC) s’installe progressivement en Europe occidentale. Détectée chez des tiques dans le sud de la France et chez des animaux sauvages et domestiques, cette maladie virale à fort potentiel épidémique constitue aujourd’hui une menace sanitaire émergente, en lien avec l’expansion des tiques Hyalomma, vectrices du virus. Cette découverte, réalisée par une équipe française et publiée dans la revue Plos One en septembre 2025, constitue une avancée majeure pour la santé publique vétérinaire et humaine.

Risque d’émergence du virus Oropouche (OROV) en Guyane et dans les Antilles françaises: du virus et son écologie, à l’évaluation du risque et aux mesures de santé publique à mettre en œuvre

Une analyse des risques coordonnée par Jean-Claude Desenclos, Marie-Claire Paty, Henriette De Valk de Santé publique France livre toutes les informations disponibles sur le virus, son vecteur, sa circulation et son écosystème, ainsi que sur les différentes formes de la maladie. Les auteurs y proposent également une réponse pragmatique à la situation actuelle et des propositions pour améliorer cette réponse dans l’avenir.