Aucune différence significative n’a été observée entre les deux groupes dans les niveaux et l’évolution sur les 24 mois de la situation conjugale, du partage du statut VIH de l’activité professionnelle et de l’expérience de discrimination. Au sein du groupe traitement précoce, des diminutions significatives étaient observées entre M0 et M24 dans le pourcentage de rapports non protégés avec partenaire VIH négatif (ou inconnu) (ORM24/M0 = 0,58 [0,45-0,76])(figure 2).
La prise en compte des comportements sexuels combinés à des mesures de charge virale permet de modéliser (Hughes et al, J Infect Dis 2012 (Partners in Prevention study) une réduction de 90 % (81 % à 95 %) du risque de transmission du VIH lors du dernier rapport sexuel dans le groupe traitement précoce versus traitement différé (figure 3).
(Desgrées du loû A et al. Abstract S2.01)
La lettre de l’Infectiologue et Vih.org s’associent pour couvrir l’AFRAVIH 2016.