Et si nous pouvions prévenir les pandémies non pas après l’apparition des premiers cas humains, mais avant même qu’elles ne touchent l’homme, en empêchant le franchissement de la barrière d’espèce ? Un article, signé par deux chercheuses américaines, propose une feuille de route pour prévenir les pandémies à la source.
La peau, première barrière, déterminerait l’évolution de l’infection par le virus de la dengue.
La peau est une barrière dynamique qui établit une frontière nette entre l’hôte et le monde extérieur constitué de toutes sortes d’agresseurs physiques, chimiques et biologiques. C’est un organe immunitaire actif qui détermine souvent l’évolution et la gravité de l’infection par les microorganismes qui y pénètrent. Une récente étude ouvre des pistes pour comprendre comment dans le cas de la dengue cette réaction cutanée initiale influe sur les étapes ultérieures. Ne seront pas abordés ici les signes cutanés de la maladie.
Le 13ᵉ Congrès de l’IAS – IAS 2025, Conference on HIV Science – se tien cette année à Kigali (Rwanda) – en présentiel et en virtuel – du 13 au 17 juillet 2025. Ce rendez-vous incontournable rassemble chercheurs, cliniciens, acteurs de santé publique et représentants de la société civile. À la croisée de la science et de l’engagement communautaire, il offre un lieu d’échange sur les avancées majeures en matière de prévention, diagnostic, traitement et recherche opérationnelle, tout en soulignant les défis persistants dans la lutte mondiale contre le VIH.
Le Rwanda accueille, du dimanche 13 juillet au jeudi 17 juillet, à Kigali, la 13ᵉ conférence sur la science du VIH de l’IAS (International AIDS Society). L’événement hybride (présentiel et distanciel) devrait rassembler près de 4 000 spécialistes.
Avec l’augmentation des cas et la progression de l’antibiorésistance, la Haute Autorité de Santé (HAS) publie en avril 2025 de nouvelles recommandations sur la prise en charge des infections à Neisseria gonorrhoeae. Une actualisation attendue, qui fait écho aux préoccupations grandissantes en santé sexuelle, notamment chez les populations les plus exposées.