VIH: Pas de réduction du risque de décès chez les personnes dépistées tardivement

Le dépistage tardif a encore un impact négatif sur la survie des personnes vivant avec le VIH, confirme une étude française présentée à la CROI, et ce, en dépit des avancées thérapeutiques. Le dépistage tardif reste élevé en France: entre 2002 et 2016, près de 29% des personnes se présentent à l’hôpital avec une infection avancée.

Covid-19 en Afrique : L’Onusida et l’OMS craignent une augmentation dramatique du nombre de décès liés au VIH

La perturbation des services sanitaires à cause de la crise du COVID-19, autant dans l’accès au traitement qu’en prévention, pourrait entraîner des centaines de milliers de décès supplémentaires dus au VIH, si des efforts spécifiques, en particulier financiers, ne sont pas mis en place.