Parole de chemsexeur : Peter, 27 ans
Témoignage anonymisé recueilli pour le numéro double de Swaps été 2024, consacré au chemsex dans huit villes d’Europe.
Témoignage anonymisé recueilli pour le numéro double de Swaps été 2024, consacré au chemsex dans huit villes d’Europe.
En attendant les recommandations officielles de la Haute autorité de santé (HAS) sur le suivi des infections sexuellement transmissibles (IST) chez les PvVIH et les usagers de PrEP VIH, que peut-on dire, notamment suite aux récents travaux belges menées au CHU Saint-Pierre de Bruxelles, sur ce sujet d’actualité? Une analyse de Charles Cazanave (CHU Bordeaux), accompagnée des réactions de médecins suivant des PrEPeurs en France.
Lors des dernières journées Santé sexuelle de la SFLS, en mai 2024, l’une des présentations les plus discutées a été celle de Jonathan Krygier (CHU Saint-Pierre/CHU Brugmann). Le médecin bruxellois est venu présenter les résultats de l’étude Gonoscreen et expliquer pourquoi, dans sa pratique, il a mis fin au dépistage systématique des gonocoques et des chlamydias dans le cadre du suivi des HSH prenant la PrEP qui sont dans une relation exclusive. À l’heure de la Doxy en Pep et en PrEP, son expérience présente une autre approche face aux IST bactériennes.
Témoignage anonymisé recueilli pour le numéro double de Swaps été 2024, consacré au chemsex dans huit villes d’Europe.
L’équipe d’addictologie de Fernand-Widal a développé et expérimenté un programme de thérapie comportementale cognitive, à destination des usagers du chemsex. Premiers éléments de connaissances et pistes pour améliorer la prise en charge de ces usagers.