Le chemsex, émergent
Combien d’usagers de chemsex parmi les HSH ? Quels défis par rapport à la prévention ? Deux sessions se sont préoccupées de ce phénomène émergent, difficile à quantifier.
Combien d’usagers de chemsex parmi les HSH ? Quels défis par rapport à la prévention ? Deux sessions se sont préoccupées de ce phénomène émergent, difficile à quantifier.
La session plénière du mardi 24 juillet était consacrée, dans une approche micro-épidémiologique, à partager des chiffres concernant certaines minorités exposées au VIH, comme les usagers de drogues, les travailleuses du sexe et les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH), et s’est attelé à décrire l’impact dramatique de la criminalisation de la transmission au Etats-Unis.
Cette session de communications orales libres abordait les discriminations subies certaines populations, dont les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) africains et les travailleuses et travailleurs du sexe. Malheureusement, les deux communications qui paraissaient les plus intéressantes, sur la stigmatisation interne chez les HSH et le rôle de la police dans la lutte contre le VIH dans les groupes LGBT au Cameroun ont été annulées au dernier moment.
Au Royaume-Uni, 13 % des PVVIH sont séropositifs sans le savoir. Élargir le recours au dépistage reste une priorité.
Les différentes épidémies d’infection par le virus de l’hépatite C (VHC) chez les hommes infectés par le VIH, HSH et associées à la consommation de drogues récréatives sont source de préoccupation.