Eradication du VIH : mythe ou réalité ?
Aucun cas de guérison spontanée de l’infection par le VIH n’a été documenté à ce jour et l’existence de réservoirs complexes pose la question de leur cinétique et des mécanismes de persistance.
Aucun cas de guérison spontanée de l’infection par le VIH n’a été documenté à ce jour et l’existence de réservoirs complexes pose la question de leur cinétique et des mécanismes de persistance.
Lors de cette première session inaugurale des 20 ans de la SFLS, le Pr JF. Delfraissy a rappelé les nouveaux enjeux – actuels et futurs – de la prise en charge de l’infection par le VIH qu’il s’agisse de la prévention (stratégie en terme de dépistage, collaboration avec le milieu associatif, devenu un véritable acteur de prévention en terme de santé publique), des traitements, des vaccins ou du « cure » (guérison).
La Conférence de Washington a été, au-delà de ses enjeux évidents –scientifiques, publics, sociétaux–, l’occasion de mettre en valeur la passation de pouvoir au sein de l’International AIDS Society (IAS), avec le discours plénier de sa nouvelle présidente, Françoise Barré-Sinoussi, prix Nobel de médecine. En voici une retranscription.
Le Pr Gilles Pialoux est à la CROI 2013, qui se tient cette année à Atlanta, du 5 au 8 mars, et coordonne le E-journal en direct de la CROI 2013 pour La Lettre de l’infectiologue.
Deux études publiées dans le New England Journal of medecine semblent conforter l’intérêt d’initier un traitement tôt -avant 4 mois- après la contamination.