La session spéciale de l’Assemblée générale des Nations Unies (UNGASS) sur «le problème mondial des drogues» s’est tenue du 18 au 21 avril à New York. Le Mexique avait joué un rôle déterminant pour que l’Assemblée générale convoque une session spéciale, deux ans avant l’échéance normale du débat sur les drogues à l’ONU. La réunion était très attendue par tous ceux qui souhaitent voir progresser l’agenda des réformes des politiques publiques en matière de drogues.
Du 19 au 21 avril 2016, Danièle Jourdain-Menninger, présidente de la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA), chargée de coordonner la lutte contre les drogues en France, était à New York pour la Session extraordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies (UNGASS) sur le problème mondial des drogues. Témoignage.
L’Assemblée générale des Nations Unies a tenu, du 19 au 21 avril, une session extraordinaire (UNGASS) sur les drogues en 2016. La rédaction de Swaps fait le point.
On oublie souvent que tous les régimes législatifs en matière de drogue trouvent leur origine dans les conventions internationales sur les stupéfiants. Ces dernières sont héritières d’un système de contrôle international des drogues qui a vu le jour au début du XXe siècle pour circonscrire et réguler un marché légal de l’opium.
Lors de la session extraordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies (UNGASS), les Pays-Bas président l’Union européenne. Dans un courrier signé adressé à la chambre des représentants, Martin Van Rijn (secrétaire d’état à la Santé, au Bien-être et aux Sports néerlandais), Ivo Opstelten (Ministre de la Sécurité et de la Justice néerlandais), Lilianne Ploumen (Ministre du Commerce extérieur et de la Coopération au développement néerlandais) informent les députés hollandais du rôle qu’entendent jouer les Pays-Bas dans la négociation.