La consécration du paradigme biomédical de la prévention ?
Cet article fait partie du Transcriptases n°144 Compte-rendu de la XVIIIe Conférence internationale sur le sida, réalisé en partenariat avec l’ANRS et qui sera disponible début novembre.
Cet article fait partie du Transcriptases n°144 Compte-rendu de la XVIIIe Conférence internationale sur le sida, réalisé en partenariat avec l’ANRS et qui sera disponible début novembre.
Face à l’épidémie de grippe A, les Français ont bénéficié d’un double privilège : stock suffisant de vaccins et expansion des cas tardive. Ils ont pourtant hésité à se faire vacciner. Plusieurs facteurs expliquent ce phénomène, nous éclairant au passage sur la réalité d’une grande crise sanitaire.
Entre désillusions et espoirs, une revue des obstacles que le VIH élève devant les barrières immunes et les résultats obtenus avec les principaux candidats vaccins élaborés à ce jour.
L’université Pierre et Marie Curie, en partenariat avec le service des Maladies infectieuses et Tropicales de l’Hôpital Tenon (AP-HP) propose du 23/11/09 au 27/11/09 et du 11/01/10 au 15/01/10 un diplôme d’Université «Foie et Maladies Infectieuses», sous la direction de Philippe Bonnard et Gilles Pialoux.
A l’heure des nouvelles stratégies préventives, est-il toujours utile d’étudier le «bareback» pour appréhender les évolutions de la prévention chez les gays? Et si oui, comment s’y retrouver parmi les multiples définitions du terme, qui sert à la fois à la description (et à la condamnation) de certaines pratiques, mais également à la définition d’identités individuelles et collectives? Près de 10 ans après les premiers débats sur le sujet (en France le premier article de fond traitant du bareback parait dans Têtu en avril 1999), le terme s’est largement banalisé au sein des communautés gays. Au point qu’on ne sait pas toujours, selon qui l’emploie, à quelle réalité il se rapporte.