Une équipe internationale de virologues vient de mener des travaux qui pourraient redéfinir quarante ans de recherches sur le virus Ebola (EBOV). Selon leurs travaux, le virus responsable des fièvres hémorragiques africaines serait capable d’entrer dans une phase de latence prolongée, aussi bien chez l’humain que dans son réservoir animal. Cette hypothèse remet profondément en question la chronologie évolutive du virus et la manière dont il se maintient entre les épidémies.
La lettre d’information de Vih.org sur les maladies infectieuses émergentes La pandémie VIHVIH Virus de l’immunodéficience humaine. En anglais : HIV (Human Immunodeficiency Virus). Isolé en 1983 à l’institut pasteur de paris; découverte récemment (2008) récompensée [Lire la suite…]
Il n’aura pas échappé à certains d’entre nous combien il est difficile, pour cette année 2025, de s’y retrouver dans certaines recommandations vaccinales et les processus de diffusion des recommandations et campagnes des autorités de santé. Tant on y perçoit parfois de l’incohérence qui entraine inévitablement une certaine dose d’incompréhension.
Infobésité, désinformation, mésinformation, fake news, infodémie, etc., l’information relative à la santé est particulièrement touchée au travers des réseaux sociaux où la vérité scientifique ne suffit plus à convaincre. En résultent un affaiblissement de la parole scientifique et une fragmentation de la santé publique. Comment, dès lors, faire face pour transmettre des messages et atteindre les citoyens? C’est la question à laquelle ont tenté de répondre les intervenants du point presse organisé le 30 octobre par Yazdan Yazdanpanah, directeur de l’ANRS-MIE, agence qui s’est dotée d’un groupe de travail «infodémie».
Une étude, basée sur des observations cliniques solides, montre que la vaccination à ARNm contre le Covid-19 peut renforcer la réponse immunitaire antitumorale et améliorer la survie chez les patients atteints de cancer et traités par immunothérapie.