Soumission chimique par benzodiazépines, anxiolytiques ou sédatifs : quels effets ? quelle prise en charge des victimes ? quelle prévention ?
Dans la soumission chimique, l’agresseur a recours à des benzodiazépines, d’autres anxiolytiques ou hypnotiques apparentés, du GHB, etc. pour obtenir plus qu’une sédation, une perte de volonté consciente de sa victime en vue d’une agression sexuelle, d’un vol, etc. En France, une enquête nationale est menée tous les ans pour faire le point sur l’ampleur de ce phénomène.