Le Covid modifie les consommations de tabac et d’alcool
Santé Publique France a mené une série d’enquêtes sur la santé physique et mentale des Français pendant et après le confinement (CoviPrev).
Santé Publique France a mené une série d’enquêtes sur la santé physique et mentale des Français pendant et après le confinement (CoviPrev).
La session plénière du jeudi 26 juillet souligne une fois de plus que l’épidémie est loin d’être contenue. Des territoires, des populations entières sont surexposées au VIH, entretenant des micro-épidémies, et le besoin d’engagement est plus fort que jamais.
Face à la consommation et au trafic de masse signant l’échec de 100 ans de prohibition, dépénaliser et légaliser de façon encadrée le commerce du cannabis permettrait de réduire les trafics, les risques et la consommation, comme cela a été fait avec succès pour le tabac et l’alcool.
Le 1er Sommet de la vape souhaite rassembler le 9 mai prochain l’ensemble des parties prenantes (scientifiques, politiques, associations, autorités de santé, utilisateurs) afin de débattre ensemble du meilleur moyen de favoriser l’essor de l’utilisation de la cigarette électronique en tant qu’alternative au tabac chez les fumeurs et de minimiser les potentiels effets négatifs.
L’arrêt du tabac est d’autant plus nécessaire pour les personnes vivant avec le VIH qu’ils ont un risque accru de développer des maladies cardiovasculaires et des cancers. Indiqué dans l’aide au sevrage tabagique, la varénicline (Champix®) est un traitement tout aussi efficace chez les personnes infectées par le VIH que dans la population générale, selon l’étude multicentrique française ANRS 144 Inter-ACTIV, dirigée par le Pr Patrick Mercié (Hôpital Saint-André, CHU de Bordeaux). Les résultats ont été présentés à l’oral lors de la 22ème Conférence sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI 2015), qui s’est déroulé à Seattle (Etats-Unis).