Les femmes transgenres (TW) sont particulièrement vulnérables à l’infection par le VIH avec un taux plus faible de recours au traitement antirétroviral (TAR). Cependant, aucune étude longitudinale n’a étudié l’intervalle de temps entre l’entrée dans les soins et le début du TAR, ni son évolution dans le temps.
Au risque de décevoir les deux ou trois lecteurs assidus, l’heure n’est pas à la gaudriole pour ce premier éditorial du e-journal en direct de San Francisco, siège de la 32e Conférence sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI). L’heure est en effet grave. Cette CROI 2025 devrait, à l’évidence, marquer l’histoire mais pour d’autres raisons que scientifiques, et ce, dans le pays, qui a le plus investi dans la recherche biomédicale depuis la seconde guerre mondiale.
La 32ᵉ Conférence sur les Rétrovirus et les Infections Opportunistes (CROI) se tiendra cette année du 9 au 12 mars 2025 à San Francisco. Cet événement majeur réunit chercheurs, médecins et spécialistes mondiaux pour discuter des dernières avancées concernant le VIH, les infections opportunistes et les maladies infectieuses émergentes.
Retrouvez ici une sélection d’articles publiés initialement sur le site The Conversation et republiés ici sous licence Creative Commons. Ces contributions externes viennent enrichir notre couverture des enjeux de santé. The Conversation est un média [Lire la suite…]
En prise avec les débats nationaux, mais aussi internationaux autour de la lutte contre le trafic de drogues, le Cnam dédie son prochain Séminaire des drogues, le 25 mars, à la question du trafic international.