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Etablissement et persistance du réservoir viral

La notion de goulot d’étranglement génétique, ou «genetic bottleneck», correspond au fait que les souches VIH isolées durant la phase de primo-infection sont génétiquement uniformes, ce qui suggère qu’un seul variant viral est en général transmis et/ou propagé chez un individu nouvellement infecté. Cette uniformité génétique est également retrouvée lors de la transmission du VIH de la mère à l’enfant.

Coinfections par les virus des hépatites et le VIH

Indiscutablement, la conférence de l’IAS est peu portée sur les coinfections et les atteintes hépatiques. Sans doute les aspects cliniques et thérapeutiques de ces comorbidités s’inscrivent-ils mieux dans d’autres conférences, à l’instar de la CROI ou de l’AASLD. Il y eu néanmoins en terre mexicaine quelques informations tangibles sur les rapports entre virus hépatotropes, VIH et foie. De Paris, revue de détail forcément partiale et partielle.

L’impact chez les femmes de la criminalisation de la transmission du VIH

A Mexico, des craintes se sont exprimées à de nombreuses reprises devant la montée en puissance de la criminalisation de la transmission du VIH. Alors que de nombreux pays mettent en place des lois pénalisant la transmission du VIH au nom de la protection des femmes et des jeunes filles, des femmes activistes ont condamné cette politique et les arguments sur lesquels elle est fondée

Santé sexuelle, lutte contre les violences et leadership : les priorités des femmes

Depuis plusieurs années, la proportion de femmes nouvellement infectées continue à augmenter dans la plupart des régions du monde (plus de 60 % en Afrique subsaharienne). L’épidémie touche plus durement les jeunes femmes ainsi que les femmes les plus vulnérables socio-économiquement.

Cet article a été publié dans Transcriptases n°138

Aux Etats-Unis, les femmes noires représentent 65 % des nouvelles contaminations féminines et ont 23 fois plus de risque d’être touchées par le virus que les femmes blanches. La tendance à la féminisation de l’épidémie se confirme donc, et ce depuis plusieurs années, dans le monde mais aussi en France.