Pour le Pr Gilles Pialoux, notre rédacteur en chef, l’émergence de variants en Afrique du Sud s’explique surtout par le refus vaccinal. Un phénomène finalement assez proche de celui vu en Guadeloupe.
Fin du feuilleton des crackers à Stalingrad, délogés vers les jardins d’Éole puis vers la porte de la Villette? Entre peurs, réactions, comportements ambigus, chassés croisés police-dealers-consommateurs, les scènes ouvertes de drogue rythment depuis quarante ans la vie des métropoles. Retour sur ces lieux où s’esquissent aussi des logiques de réduction des risques.
Face aux formes graves de la maladie provoquées par le SARS-CoV-2, les médecins disposent depuis peu d’une nouvelle solution thérapeutique efficace, avec l’arrivée des anticorps monoclonaux, ou mAb.
Même si les nouvelles infections par le VIH ont été réduites de moitié depuis le pic de 1997, les données récentes montrent que le nombre de personnes infectées continuera d’augmenter à moins que des stratégies préventives plus efficaces ne soient mises en place. Contrairement à ce qui a été le cas avec le vaccin anti-Covid-19, les problématiques pour un vaccin anti-VIH portent moins sur la question du choix de la plateforme vaccinale que sur la caractérisation de l’antigène vaccinal.
«Programmed cell death 1» (aussi désignée PDC1, PD1 ou PD-1) est une protéine de surface cellulaire encodée par le gène PDCD11 et exprimée notamment à la surface des lymphocytes T activés.