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Circoncision, de l’essai randomisé au passage à l’échelle

Entre 2005 et 2007, trois grands essais randomisés1Auvert et al., 2005 ; Bailey et al., 2007 ; Gray et al., 2007. confirmaient l’effet protecteur de la circoncision masculine sur l’acquisition du VIH. En 2007, s’en suivaient les directives d’Onusida et de l’OMS appelant à la mise en œuvre de programme de circoncision masculine dans les pays à fort prévalence du VIH/sida et dans lesquels la circoncision masculine était peu répandue. Où en est-on depuis et quels sont les principaux enjeux du passage à l’échelle ?

Vers l’accès universel : une dynamique menacée si l’offre de soins VIH n’est pas repensée

L’objectif de 15 millions de personnes sous traitement en 2015 représente d’immenses défis, tant les besoins à couvrir restent importants16,6 millions de patients sont sous traitement dans les pays en développement fin 2010, soit une couverture des besoins de 50 % (Rapport de progrès vers l’accès universel 2011, OMS, UNICEF & ONUSIDA), parmi lesquels le développement de l’accès aux soins en zone décentralisée.

Un modèle d’éradication du VIH pour 2016 ? Théorie versus réalité

Dans une étude publiée récemment dans la revue The Lancet, une équipe de chercheurs de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), conduite par le Dr. Reuben Granich, a utilisé des modèles mathématiques pour étudier l’impact sur l’épidémie du VIH/sida d’une intervention qui consisterait à soumettre annuellement tous les volontaires à un test VIH, suivi d’une mise sous traitement immédiate de toutes les personnes dépistées séropositives1Granich RM, Gilks CF, Dye C, De Cock KM, Williams BG. Universal voluntary HIV testing with immediate antiretroviral therapy as a strategy for elimination of HIV transmission: a mathematical model. Lancet, 2008, Nov 25. [Epub ahead of print]. Leur étude a pour contexte l’Afrique du Sud, pays extrêmement touché par l’épidémie du VIH/sida où quasiment 1 personne sur 5 est porteuse du virus. Les auteurs concluent que l’épidémie pourrait décroître très fortement jusqu’à l’élimination qu’ils fixent en 2016. L’élimination étant définie comme la réduction de l’incidence à moins d’un cas pour 1000 personnes par an.