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Une protéine clé de l’entrée du VHC dans les cellules identifée

L’équipe du Professeur Thomas Baumert (Unité Inserm 1110, Université de Strasbourg, France) identifie les signaux qui permettent l’entrée du virus de l’hépatite C (VHC) dans les cellules du foie. En montrant que ces signaux jouent également un rôle important pour l’entrée d’autres virus, tels que le virus de la grippe, les chercheurs ouvrent la voie à une possible nouvelle classe thérapeutique. Ces travaux, financés par l’Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales (ANRS), l’Union Européenne et l’Agence nationale de la recherche (Laboratoire d’excellenceHepSys et IHU Strasbourg), sont publiés dans «Cell Host & Microbe» du 13 Mars 2013.

Où en est-on avec la circoncision, cinq ans après les recommandations de l’OMS et de l’Onusida ?

Alors même que les ligues anticirconcision de l’enfant aux Etats-Unis manifestaient au fronton du Palais des congrès de Washington, à l’intérieur se construisait un débat technique, politique et éthique en matière de «scaling up» (montée en puissance) de la circoncision en Afrique. Revue de détails.

L’Amérique du VIH, pays moyennement développé

C’était un rien spectaculaire cette Amérique qui recevait, en pleine période électorale, le monde entier de la lutte contre le sida dans la conférence AIDS 2012. Hors CROI, cette fois, mais avec les per­sonnes atteintes (PLWA) qui avaient «droit», Obama oblige, au passage des frontières. L’occasion de mettre l’accent sur le déficit de la «cascade» américaine : dépi­stage-suivi-traitement ; essentiellement pour cause d’insuffisance de couverture sociale. Surtout com­paré à la cascade française qui, en ­évaluant l’épidémie cachée en France, ­­revisite la question du coût-efficacité des politiques de dépistage.

Sida : en Afrique, les hommes répondent moins bien au traitement

Plus de 25 millions de personnes sont infectées aujourd’hui par le virus du sida en Afrique, parmi lesquelles une majorité de femmes. Cependant, une étude conduite par des chercheurs d’ Epicentre(1) et de l’IRD révèle que les hommes réagissent moins bien au traitement. L’ étude, basée sur quatre programmes de Médecins sans frontières France au Malawi, en Ouganda et au Kenya, montre que la reconstitution immunitaire est plus lente chez les hommes que chez les femmes.