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Un modèle d’éradication du VIH pour 2016 ? Théorie versus réalité

Dans une étude publiée récemment dans la revue The Lancet, une équipe de chercheurs de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), conduite par le Dr. Reuben Granich, a utilisé des modèles mathématiques pour étudier l’impact sur l’épidémie du VIH/sida d’une intervention qui consisterait à soumettre annuellement tous les volontaires à un test VIH, suivi d’une mise sous traitement immédiate de toutes les personnes dépistées séropositives1Granich RM, Gilks CF, Dye C, De Cock KM, Williams BG. Universal voluntary HIV testing with immediate antiretroviral therapy as a strategy for elimination of HIV transmission: a mathematical model. Lancet, 2008, Nov 25. [Epub ahead of print]. Leur étude a pour contexte l’Afrique du Sud, pays extrêmement touché par l’épidémie du VIH/sida où quasiment 1 personne sur 5 est porteuse du virus. Les auteurs concluent que l’épidémie pourrait décroître très fortement jusqu’à l’élimination qu’ils fixent en 2016. L’élimination étant définie comme la réduction de l’incidence à moins d’un cas pour 1000 personnes par an.

Prise en compte du sexe social dans les interventions en Afrique subsaharienne

La prise en compte des différentes composantes du sexe social (ou genre) dans le cadre d’une approche sexospécifique et non plus sexodiscriminante (basée uniquement sur le sexe biologique) est susceptible d’accroître l’efficacité des interventions et des politiques pour lutter contre le VIH/sida et de réduire le différentiel de santé hommes/femmes en Afrique subsaharienne.

Suivi VIH en ville : Le consensus formalisé

La Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF) et la Société Française de Lutte contre le Sida (SFLS) viennent de rendre disponible le consensus formalisé sur la prise en charge de l’infection par le VIH en médecine générale et en médecine de ville, dans l’hexagone. L’occasion de revenir sur les médecins généralistes «spécialistes du VIH».