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Chikungunya, grippe aviaire, fièvre hémorragique Crimée Congo… Quel est le risque en France ?

Alors que le nombre de cas de chikungunya atteint un niveau inédit en France, d’autres zoonoses inquiètent les autorités sanitaires qui multiplient les mesures de prévention sur le sol français, ont indiqué plusieurs spécialistes à l’occasion d’un point presse organisé le 4 septembre par l’ANRS.

Du sud au nord : comment le moustique tigre redessine la carte des épidémies

Le moustique tigre (Aedes albopictus), originaire d’Asie du Sud-Est, s’installe durablement en France et en Europe. Une étude parue dans Global Change Biology (Radici et al., 2025) montre que cette espèce invasive a rapidement colonisé sa « niche climatique » en France, sous l’effet conjugué du réchauffement global et de l’urbanisation. Et avec lui, c’est le risque d’arboviroses – dengue en tête – qui s’étend vers le nord du continent.

Vacciner vite, vacciner bien ? Les dilemmes de la réponse au chikungunya à La Réunion

La lutte contre le chikungunya repose exclusivement sur la prévention de la transmission : protection individuelle contre les piqûres de moustiques, lutte antivectorielle pour réduire les populations d’Aedes, et vaccination lorsqu’elle est disponible. Il n’existe à ce jour aucun traitement curatif spécifique.

Comment les chercheurs ont reconstitué 37 000 ans d’épidémies : plongée dans la paléo-épidémiologie moléculaire

Grâce aux outils de la génétique ancienne, une équipe internationale a dressé une carte inédite des infections humaines à travers l’histoire de l’Eurasie. En analysant l’ADN de plus de 1300 individus, les chercheurs révèlent comment la sédentarisation, l’élevage et les migrations ont façonné l’émergence et la circulation des maladies infectieuses.

Dengue, peau et ascendance génétique

La peau, première barrière, déterminerait l’évolution de l’infection par le virus de la dengue.

La peau est une barrière dynamique qui établit une frontière nette entre l’hôte et le monde extérieur constitué de toutes sortes d’agresseurs physiques, chimiques et biologiques. C’est un organe immunitaire actif qui détermine souvent l’évolution et la gravité de l’infection par les microorganismes qui y pénètrent. Une récente étude ouvre des pistes pour comprendre comment dans le cas de la dengue cette réaction cutanée initiale influe sur les étapes ultérieures. Ne seront pas abordés ici les signes cutanés de la maladie.