C’est le quatrième cas d’infection lupique décrit au cours de l’infection par le VIH Ces pathologies cutanées ne rentrent pas dans le cadre de celles liées aux traitements antirétroviraux. Les signes cutanés de lupus chronique sont à évoquer chez les patients infectés par le VIH avec un taux de lymphoctes T CD4+ supérieur à 500/mm3.
Au même titre que le lupus, d’autres maladies auto-immunes peuvent se rencontrer au cours du syndrome de restauration immunitaire (IRIS).