Données concernant l’utilisation du dolutégravir chez les femmes en âge de procréer

En 2018, L’étude Tsepamo, réalisée au Botswana, avait montré un risque potentiel accru de malformation fœtale chez les femmes qui avaient pris du dolutégravir au tout début de leur grossesse. Retour à l’IAS 2019 sur un risque pris très au sérieux par l’Organisation mondiale de la santé, qui recommande toujours le dolutégravir comme antirétroviral de première ligne.