Améliorer la cascade de soins VIH en Afrique

Avec une documentation scientifique indiscutable des bénéfices individuels et collectifs du traitement antirétroviral (ARV), son utilisation universelle a suscité des espoirs sans précédents de contrôle de l’épidémie. Particulièrement en Afrique subsaharienne qui concentre toujours 70% des nouvelles infections mondiales au VIH. 

Sud: De nouvelles molécules pour protéger l’allaitement

Après la grossesse et l’accouchement, l’allaitement est le 3e défi de la prévention de la transmission mère-enfant (PTME). Pour que la mère puisse allaiter naturellement sans risquer de transmettre le virus, la femme ou l’enfant doivent bénéficier d’une prophylaxie efficace. Les premiers résultats de l’étude ANRS 12174 Promise-PEP laissent envisager de nouvelles options thérapeutiques.

En Afrique, moins de la moitié des infections VIH ont lieu au sein de couples sérodifférents

Deux articles de modélisation récents posent la question de la part des infections survenant au sein de couples stables sérodifférents (un partenaire séropositif, un partenaire séronégatif) dans l’épidémie globale sévissant en Afrique Sub-saharienne. La question est majeure pour la prévention VIH : elle revient indirectement à poser celle de l’échelle à laquelle proposer des interventions de prévention telles que le TasP.