Avec une documentation scientifique indiscutable des bénéfices individuels et collectifs du traitement antirétroviral (ARV), son utilisation universelle a suscité des espoirs sans précédents de contrôle de l’épidémie. Particulièrement en Afrique subsaharienne qui concentre toujours 70% des nouvelles infections mondiales au VIH.
Jean-Michel Pawlotsky revient sur son allocution aux 2èmes rencontres parlementaires sur l’hépatite C et en particulier sur le poids déterminant de la recherche publique dans l’innovation thérapeutique.
Après les conférences de Casablanca en 2010 et Genève en 2012, la Conférence internationale francophone VIH/Hépatites, organisée par l’AFRAVIH (Alliance Francophone des Acteurs de Santé contre le VIH) à choisi Montpellier pour sa 7e édition, du 27 au 30 avril 2014.
Après la grossesse et l’accouchement, l’allaitement est le 3e défi de la prévention de la transmission mère-enfant (PTME). Pour que la mère puisse allaiter naturellement sans risquer de transmettre le virus, la femme ou l’enfant doivent bénéficier d’une prophylaxie efficace. Les premiers résultats de l’étude ANRS 12174 Promise-PEP laissent envisager de nouvelles options thérapeutiques.
Deux articles de modélisation récents posent la question de la part des infections survenant au sein de couples stables sérodifférents (un partenaire séropositif, un partenaire séronégatif) dans l’épidémie globale sévissant en Afrique Sub-saharienne. La question est majeure pour la prévention VIH : elle revient indirectement à poser celle de l’échelle à laquelle proposer des interventions de prévention telles que le TasP.