Résultat de recherche pour « preparación para ecografía de partes blandas »

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Traitements contre le VIH et drogues récréatives : interactions potentiellement dangereuses (methamphétamine, méphédrone, MDMA ou kétamine)

Les deux médicaments utilisés dans le traitement du VIH et qui sont les plus susceptibles de provoquer des interactions avec les drogues récréatives sont ceux n’ayant pas d’action directe contre le virus mais utilisés en complément des antirétroviraux pour booster la concentration de ces derniers dans l’organisme, à savoir la ritonavir (NORVIR ®) et cobicistat (TYBOST ®). Interactions également possibles avec les médicaments traitant les troubles érectiles et les benzodiazépines. Attention, cet article est une traduction, les combinaisons thérapeutiques présentées peuvent ne pas être les mêmes en France (ex: Prezista ® et Reyataz ® sont co-administrés avec Norvir ® en France).

Ouverture du CEPIAD à Dakar, premier centre méthadone en Afrique de l’Ouest

Le 1er décembre 2014, le Pr Awa Marie Coll Seck, ministre de la Santé du Sénégal, inaugurait les locaux du Centre de prise en charge intégrée des addictions à Dakar (CEPIAD) en présence des partenaires du projet (Ensemble pour une solidarité thérapeutique hospitalière en réseau [ESTHER], mairie de Paris, Agence nationale de recherche sur le sida [ANRS], United Nations Office on Drugs and Crime [UNODC], le Fonds mondial, Institut de médecine et d’épidémiologie appliquée [IMEA], Division infections sexuellement transmissibles [IST]/sida et division de la santé mentale du ministère de la Santé et de l’Action sociale) sous la direction du Conseil national de lutte contre le sida (CNLS) du Sénégal. Dans son discours, la secrétaire exécutive du CNLS, le Dr Safiatou Thiam, a souligné l’efficacité du processus de la recherche opérationnelle qui a permis l’ouverture du premier «centre méthadone» en Afrique de l’Ouest.

De l’offre et de l’usage de drogues en temps de crise

La France avec la crise dite «des subprimes» de 2008 connaît une situation économique d’une gravité sans précédent depuis les années 1930. Chômage, sous-emploi de masse, développement de la précarité touchent aujourd’hui une partie significative de la population. Les dernières observations réalisées dans le cadre du dispositif Tendances récentes et nouvelles drogues (TREND) de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) montrent que cette situation affecte aussi les modalités de l’usage de drogues en France, notamment dans les populations dites «insérées», que ce soit du côté de l’offre comme de la demande.

Explosion de VIH chez les consommateurs de drogues en Grèce pendant la crise économique

En 2015, la Grèce est entrée dans sa sixième année de récession, avec un taux de croissance annuel de –9,9%, une dette publique représentant 324% du produit intérieur brut (PIB) et un taux de chômage estimé à 26%. En Grèce, la santé est principalement financée par le secteur public, à travers le système national de santé, dont les dépenses sont passées de 9,3% du PIB en 2010 à 6% en 2014. Les mesures drastiques d’austérité ont provoqué des suicides chez les plus démunis et favorisé l’arrivée de nouveaux cas d’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), notamment à cause de coupures budgétaires dans les programmes d’échange de seringues (PES).