Entre 2005 et 2007, trois grands essais randomisés confirmaient l’effet protecteur de la circoncision masculine sur l’acquisition du VIH. En 2007, s’en suivaient les directives d’Onusida et de l’OMS appelant à la mise en œuvre de programme de circoncision masculine dans les pays à fort prévalence du VIH/sida et dans lesquels la circoncision masculine était peu répandue. Où en est-on depuis et quels sont les principaux enjeux du passage à l’échelle ?
Le diagnostic du VIH n’est que la première étape du parcours de soin des personnes infectées. Idéalement, un diagnostic doit être suivi rapidement d’une évaluation de l’éligibilité au traitement (principalement une mesure des CD4), puis d’une initiation du traitement ARV ou d’une ré-évaluation régulière de l’éligibilité. Dans les faits, la continuité à cette étape cruciale de la cascade est loin d’être optimale.
Une conférence ne commence pas vraiment tant que l’on a pas le scoop… pour la CROI 2015, c’était avant tout la PrEP et la communication des résultats de l’essai IPERGAY. Pour l’IAS 2015, le scoop vient de l’OMS : à la fin de l’année 2015, l’OMS recommendera (enfin !) le traitement universel de tous les séropositifs, quel que soit leur taux de CD4. Ces recommandations ne sont pas encore complétement écrites, mais seront publiées à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre 2015.
Une recherche sur les prises de risques sexuels liés au VIH/sida chez les homosexuels masculins avec la théorie psychanalytique de Jacques Lacan comme «grille de lecture».
Une nouvelle fois, après avoir tenté l’expérience en 2002, puis en 2007, Swaps soumet les candidats à l’élection présidentielle à l’approche sanitaire des drogues et à la question de la réduction des risques. Contrairement à 2002 et 2007, il y a surtout des candidats qui n’ont pas répondu…