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La santé communautaire en éclaireur

Si la diffusion de leur consommation se poursuit, les spécificités des nouveaux produits de synthèse (NPS) vont imposer aux professionnels d’inventer de nouvelles façons de travailler. Sans doute faudra-t-il alors chercher l’inspiration du côté des actions communautaires car, face aux risques liés à ces consommations, les amateurs de NPS n’ont pas attendu pour s’organiser : groupes de parole, vulgarisation et diffusion de recherches scientifiques, interventions de proximité, etc. Ils ont spontanément inventé, ou réinventé, quelques outils de réduction des risques (RdR) qu’ils sont parvenus à adapter aux NPS en les revisitant à coups de nouvelles technologies…

La réduction des risques n’a pas attendu Vilnius pour être politique!

La 23e Conférence internationale de la réduction des risques s’est tenue à Vilnius (Lituanie) du 9 au 12 juin. Pour la première fois en Europe orientale, elle a vu nombre de ses membres plaider, au nom de la santé et des droits de l’homme (particulièrement bafoués pour les usagers de drogues dans cette partie du monde), pour une réforme en profondeur du système international de la prohibition.

Nouveaux produits de synthèse: Portrait d’un phénomène

Jusqu’à récemment, le choix des drogues était limité à quelques-unes. Aujourd’hui, l’arrivée des nouveaux produits de synthèse (NPS), rendus accessibles en premier lieu par Internet, constitue une évolution de fond. Son ampleur et ses implications ne sont pas encore clairement estimables. Les NPS suscitent des pratiques de consommation différentes et peut-être d’autres façons pour les consommateurs de produits psychoactifs de se penser en tant que tel. Ils interrogent les pratiques des professionnels et, au-delà, les termes de santé publique et de justice dans l’équation législative autour des produits psychoactifs.

Les patients nouvellement diagnostiqués pour le VIH et/ou une IST ont souvent une personne non diagnostiquée pour le VIH dans leur réseau social

Demander aux patients nouvellement diagnostiqués pour le VIH ou une Infection Sexuellement Transmissible (IST) de recruter des contacts dans leur réseau social pour effectuer un dépistage du VIH et des IST est un moyen efficace de détecter des infections non-diagnostiquées jusqu’alors, d’après une étude publiée sur l’édition en ligne du JAIDS (Journal of Acquired Immune Deficiency Syndromes).