ESTHER 2002-2012 : 10 ans d’expérience, de solidarité, de partage, et de réussite
Le 29 novembre 2012, le GIP ESTHER fête ses 10 ans, sous l’égide du Ministère des Affaires Etrangères et du Ministère des Affaires sociale et de la Santé.
Le 29 novembre 2012, le GIP ESTHER fête ses 10 ans, sous l’égide du Ministère des Affaires Etrangères et du Ministère des Affaires sociale et de la Santé.
A l’heure des nouvelles stratégies préventives, est-il toujours utile d’étudier le «bareback» pour appréhender les évolutions de la prévention chez les gays? Et si oui, comment s’y retrouver parmi les multiples définitions du terme, qui sert à la fois à la description (et à la condamnation) de certaines pratiques, mais également à la définition d’identités individuelles et collectives? Près de 10 ans après les premiers débats sur le sujet (en France le premier article de fond traitant du bareback parait dans Têtu en avril 1999), le terme s’est largement banalisé au sein des communautés gays. Au point qu’on ne sait pas toujours, selon qui l’emploie, à quelle réalité il se rapporte.
Les mesures prises par les États à travers le monde pour contenir la diffusion du Covid-19, notamment la fermeture plus ou moins partielle des frontières et le confinement des populations, vont avoir des répercussions sur l’offre et la demande des drogues illicites en France. S’il est encore prématuré de tirer des conclusions définitives sur les événements en cours, certaines hypothèses peuvent être d’ores et déjà posées. Elles conduisent à penser que ce marché pourrait prochainement connaître une période de pénurie et de désorganisation durable.
> Télécharger le numéro 149 de Transcriptases en PDF. Numéro spécial Washington 2012 — « A la progression déconcertante de l’épidémie, il nous faut opposer le qui-vive, la capacité de réorienter sans cesse nos réponses, nos [Lire la suite…]
La question des «home test» VIH dans l’arsenal d’offres de dépistage a été récemment réactivée par l’autorisation de la Food and Drug Administration (FDA) pour un test salivaire pourtant non autorisé en France. L’occasion de revenir sur les données issues de l’enquête1Greacen T., Friboulet D., Fugon L., Hefez S., Lorente N., Spire B. “Access to and use of unauthorised online HIV self-tests by Internet-using French-speaking men who have sex with men”. Sex Transm Infect, 88:368-374, 2012,2Greacen T., Friboulet D., Blachier A., Fugon L., Hefez S., Lorente N., Spire B. “Internet-using Men who have Sex with Men would be interested in accessing authorised online HIV Self-tests”. Aids Care, 2012 menée par Aides, le SNEG (Syndicat national des entreprises gaies) avec le soutien de l’ANRS, avec l’intervention faite dans le cadre du symposium Sidaction de la conférence.