Pourquoi j’ai voulu relancer les communautés thérapeutiques
J’ai toujours été convaincu de la nécessité d’offrir la palette thérapeutique la plus large possible aux usagers demandeurs de soins.
J’ai toujours été convaincu de la nécessité d’offrir la palette thérapeutique la plus large possible aux usagers demandeurs de soins.
Le Cnam et l’Institut pour la recherche en santé publique (IReSP) convient à un séminaire sur le renouveau des psychédéliques, le 14 juin de 14 à 17h. Ce webinaire abordera l’utilité thérapeutique des psychédéliques à l’heure de la légalisation de l’usage des champignons hallucinogènes aux États-Unis.
En Polynésie française, une forte préoccupation est apparue ces dernières années à propos de la consommation de méthamphétamine, importée des États-Unis sous forme de cristaux, et nommée «ice». À partir d’une enquête de terrain menée entre 2019 et 2021, Alice Simon et Alice Valiergue expliquent comment cette drogue s’est imposée sur le marché polynésien malgré son prix très élevé, et comment ce problème social s’est —tardivement— transformé en problème public.
Les communautés thérapeutiques ont vu leur développement limité en France, en grande partie en raison de dérives constatées qui figuraient en vérité dans les «institutions de référence» américaines. En pleine vague d’héroïnomanie de masse dans les années 1970-1990, elles ont incarné un espoir de réinsertion. Objet possible d’une diversification de l’offre de soins, les communautés thérapeutiques n’ont pas connu ici le même succès qu’ailleurs. Cet article, le premier d’une série, revient sur cette histoire compliquée. Dans un prochain numéro de Swaps, nous aborderons leur renouveau contemporain.
Le virus de l’hépatite C (VHC) évolue en silence, bien souvent sans symptômes visibles. Alors pour l’éliminer, il est indispensable de le chercher là où il se cache. Certaines populations sont particulièrement exposées, comme les usagers de drogues, les détenus ou encore les patients hospitalisés en psychiatrie.